« Partager une belle table, c’est créer des souvenirs ensemble »
Je suis Lucie Bellanger
et voici l’histoire des Petites Popotes.
Ce projet (fou, il faut l’avouer) est né suite à notre décision de changer de vie. Installée avec mon mari en Haute Savoie depuis plusieurs années, parents d’un super Eliott depuis 2019, nous étions fatigués de l’agitation de cette région oh combien magnifique, mais qui nécessite une course folle à la réussite.
Notre plan était de se créer un nouveau cadre de vie, proche de notre famille à la campagne et que notre travail ait du sens.
Amoureuse des grands espaces sauvages, je m’engage en 2008 dans des études de biologie écologie à Besançon (ma ville natale), et continue jusqu’au master à l’Institut Géographique Alpine de Grenoble.
Je tombe dans le monde de la restauration par hasard via mes jobs d’étudiants. Je découvre ce métier si passionnant mais parfois si rude.
De commis de bar à assistante maître d’hôtel, je gravis les échelons plutôt rapidement. Je côtoie des gens formidables, avec qui j’apprends beaucoup. Mais le stress de ce métier m’est difficile à gérer.
Pour notre nouvelle vie, il me faut un plan B.
Alors quoi de plus apaisant que de créer sa propre boite 🤣
Sur le papier, le plan était limpide : Rassembler les choses que j’aime et en faire mon métier !
Manger bon, acheter des produits de qualité et extra-frais à des producteurs et en faire une cuisine gourmande et qui respect la nature et les gens.
Voilà Les Petites Popotes étaient nées une nuit de juillet au clair de lune, épuisée en rentrant d’un service.
Les Petites Popotes en chiffres
En 2024:
– 100 Recettes proposées sur le menu hebdomadaire 🍲
– 2300 couverts servis 🥣
– 500 kg de légumes épluchés 😅
– 1 brûlure et 5 coupures 🔥🔪🩸
– 1 Super Lulu 🤩
(presque😇) toujours prête à vous régaler
Quelques dates
Août 2020 à Mars 2021 : Elaboration du projet, recherche de producteurs, essaie de recettes, élaboration de cartes, montage juridique
Avril 2021 : 1ers plats vendus
Mars 2022 : lancement des premières prestations de traiteur
Mars 2024 : Je m’installe dans un nouveau local de production plus grand et confortable qui me permet d’augmenter ma cadence de travail
